Le réchauffement climatique : un défi majeur pour l’avenir de l’élevage

Le réchauffement climatique bouleverse profondément l’ensemble des secteurs agricoles, et l’élevage n’échappe pas à cette réalité. Augmentation des températures, sécheresses prolongées, précipitations erratiques et réduction des ressources en eau affectent directement la productivité des élevages et menacent la durabilité des systèmes de production. Pour les éleveurs, ces phénomènes posent des défis économiques et environnementaux sans précédent, les forçant à repenser leurs pratiques pour garantir la pérennité de leur activité.

Des impacts concrets sur les élevages

Le réchauffement climatique a un impact direct sur les conditions de vie des animaux d’élevage. Les vagues de chaleur récurrentes, par exemple, ont des effets négatifs sur le bien-être animal. Le stress thermique peut entraîner une baisse de l’appétit chez les animaux, une diminution de la production laitière ou encore une réduction de la croissance des bovins et des ovins. Dans certaines régions, ces périodes de chaleur intense deviennent si fréquentes qu’elles remettent en cause la viabilité des élevages traditionnels, notamment en raison de la difficulté à fournir suffisamment d’eau et de nourriture aux troupeaux.

Les changements climatiques impactent également la qualité des pâturages. Les sécheresses, devenues plus fréquentes et plus longues, réduisent la disponibilité des fourrages et la capacité des pâturages à nourrir les troupeaux. Les éleveurs doivent alors avoir recours à des compléments alimentaires, souvent coûteux et moins nutritifs, ou réduire la taille de leurs cheptels, ce qui affecte leur rentabilité. Pour les éleveurs bovins en particulier, dont les systèmes sont souvent extensifs et dépendent fortement des prairies naturelles, cette situation crée une pression économique considérable.

Une adaptation nécessaire des pratiques d’élevage

Face à ces défis, de nombreux éleveurs se tournent vers des pratiques plus durables et résilientes pour faire face aux aléas climatiques. L’adaptation des systèmes de pâturage est l’une des réponses les plus courantes. Le pâturage tournant, par exemple, est une méthode qui permet de préserver les ressources naturelles tout en améliorant la productivité des prairies. Ce système consiste à déplacer les animaux d’une parcelle à une autre selon un calendrier précis, permettant ainsi aux sols et aux herbes de se régénérer avant d’être à nouveau utilisés.

L’introduction de nouvelles races plus résistantes à la chaleur est également une solution explorée par de nombreux éleveurs. Certaines races locales, mieux adaptées aux conditions climatiques de leurs régions d’origine, retrouvent ainsi leur place dans les élevages. Dans le sud de la France, par exemple, des races comme la Gasconne ou la Salers sont de plus en plus privilégiées pour leur capacité à résister à des conditions climatiques extrêmes, tout en produisant une viande de qualité.

De plus, la gestion des ressources en eau devient un enjeu central pour les élevages. Dans certaines régions, des systèmes d’irrigation plus efficaces, couplés à la collecte des eaux de pluie, permettent de pallier le manque d’eau durant les périodes de sécheresse. Les éleveurs investissent également dans des infrastructures qui réduisent le gaspillage d’eau et favorisent une utilisation optimisée de cette ressource précieuse.

Les enjeux économiques de la transition climatique

La transition vers des pratiques d’élevage plus durables a néanmoins un coût, souvent difficile à supporter pour les petites exploitations. Les investissements dans des infrastructures de gestion de l’eau, des systèmes de pâturage plus sophistiqués ou encore des races plus résistantes nécessitent des financements importants. Les éleveurs doivent donc être soutenus par des politiques publiques adaptées, visant à encourager les pratiques résilientes tout en garantissant la rentabilité des exploitations.

En France, certaines régions mettent en place des aides spécifiques pour aider les éleveurs à s’adapter aux nouvelles contraintes climatiques. Des programmes de soutien aux investissements durables, comme ceux favorisant les systèmes agroécologiques, sont déjà en cours, mais ces initiatives doivent être renforcées à l’échelle nationale et européenne pour répondre à l’ampleur des défis à venir.

Chez GRG Maison des Viandes, nous travaillons en étroite collaboration avec des éleveurs engagés dans cette transition climatique. Nous mettons un point d’honneur à valoriser les viandes issues d’élevages qui adoptent des pratiques résilientes et durables. Cela passe par le soutien aux systèmes extensifs qui respectent le bien-être animal et l’environnement, mais aussi par la promotion de races locales adaptées aux nouvelles conditions climatiques.

GRG Maison des Viandes : Un partenariat exemplaire pour une production de viande durable et respectueuse du bien-être animal

Chez GRG Maison des Viandes, la production de viande durable et respectueuse du bien-être animal est au cœur de notre démarche. Pour concrétiser cet engagement, nous avons établi des partenariats solides avec des éleveurs partageant nos valeurs et notre vision d’une filière viande plus responsable.

Un cahier des charges exigeant et des valeurs communes

Au-delà des exigences réglementaires, nous avons élaboré un cahier des charges strict qui définit des critères précis en matière de bien-être animal, dépassant ainsi les normes minimales. Ce cahier des charges couvre l’ensemble des étapes de l’élevage, depuis l’alimentation et l’accès à l’eau jusqu’aux conditions d’élevage et d’abattage.

Des audits réguliers et un dialogue permanent pour une amélioration continue

Nous réalisons des audits réguliers sur les exploitations de nos partenaires éleveurs pour garantir le respect du cahier des charges et apporter conseils et assistance si nécessaire. Un dialogue permanent est instauré afin d’échanger sur les bonnes pratiques, partager les expériences et identifier des solutions innovantes pour améliorer continuellement le bien-être animal.

Valoriser les pratiques vertueuses et contribuer à un avenir durable

Notre démarche s’étend au-delà du bien-être animal pour promouvoir des pratiques d’élevage durables. Nous encourageons l’utilisation d’aliments sains et produits localement, la gestion responsable des ressources naturelles et la valorisation des co-produits de l’élevage.

Un soutien concret aux éleveurs engagés et une offre de qualité pour les consommateurs

En collaborant avec des éleveurs engagés dans le bien-être animal et les pratiques durables, nous proposons à nos clients des produits de viande haut de gamme issus d’un système d’élevage respectueux de l’environnement et des animaux. Cette approche collaborative est essentielle pour construire un avenir durable pour la filière viande.

Témoignage : Un éleveur partenaire partage son expérience

« Depuis que je travaille avec GRG Maison des Viandes, j’ai pu mettre en place de meilleures pratiques d’élevage pour le bien-être de mes animaux », explique Pierre Dupont, éleveur de bovins en Normandie. « Leurs conseils et leur soutien m’ont permis d’améliorer les conditions de vie de mes animaux, tout en optimisant la gestion de mon exploitation. »

S’engager pour une filière viande plus durable et plus respectueuse de l’environnement

La lutte contre le changement climatique et la préservation de l’environnement sont des enjeux majeurs auxquels GRG Maison des Viandes s’engage à répondre de manière concrète. Nous mettons en œuvre des actions dans l’ensemble de notre filière, de l’élevage à la distribution, pour réduire notre impact environnemental et contribuer à une production de viande plus durable.

Réduire l’empreinte carbone de nos produits

Nous travaillons en collaboration avec nos éleveurs partenaires pour mettre en place des pratiques d’élevage plus respectueuses de l’environnement. Cela passe notamment par la réduction des émissions de gaz à effet de serre,l’optimisation de l’alimentation des animaux et la gestion durable des ressources naturelles.

Valoriser les co-produits de l’élevage et lutter contre le gaspillage alimentaire

Nous nous engageons à valoriser l’ensemble des co-produits issus de l’élevage, tels que les os, les cuirs et les fumiers. Ces co-produits sont transformés en produits dérivés ou utilisés pour la production d’énergie renouvelable, contribuant ainsi à une économie circulaire et à la lutte contre le gaspillage alimentaire.

Soutenir l’agroforesterie et la biodiversité

Nous encourageons le développement de l’agroforesterie sur les exploitations de nos éleveurs partenaires. L’agroforesterie associe des arbres, des cultures et des animaux sur une même parcelle, permettant ainsi de favoriser la biodiversité, de lutter contre l’érosion des sols et de stocker du carbone.

Un engagement continu pour un avenir durable

La transition vers une filière viande plus durable est un processus continu qui nécessite l’implication de tous les acteurs.Chez GRG Maison des Viandes, nous nous engageons à poursuivre nos efforts et à collaborer avec nos partenaires pour minimiser notre impact environnemental et contribuer à un avenir durable pour la filière viande.

Témoignage : Un éleveur partenaire engagé dans la transition durable

« Depuis que je travaille avec GRG Maison des Viandes, j’ai mis en place des pratiques d’élevage plus respectueuses de l’environnement », explique M. Durand

La Maison des Viande, fière de proposer des viandes AOP, gage d’excellence et de savoir-faire unique

Chez GRG Maison des Viandes, nous sommes fiers de proposer à nos clients une sélection de viandes AOP, Appellation d’Origine Protégée, synonymes de qualité exceptionnelle et de savoir-faire ancestral. Ces produits d’exception représentent le meilleur de la production française et incarnent les valeurs fondamentales de notre entreprise : respect du terroir, engagement envers les éleveurs et passion pour la gastronomie.

Des produits uniques issus d’un terroir d’exception

Les viandes AOP, au nombre de 12 en France, sont issues de terroirs spécifiques et bénéficient de conditions d’élevage et de production rigoureusement contrôlées. Chaque viande possède sa propre typicité, fruit d’un lien intime entre le sol, les animaux et le savoir-faire des éleveurs.

Un savoir-faire ancestral transmis de génération en génération et une traçabilité garantie

L’élevage des animaux AOP s’inscrit dans une tradition ancestrale, transmise de génération en génération. Les éleveurs passionnés maîtrisent des techniques uniques et mettent tout leur cœur dans l’élevage de leurs animaux, leur garantissant ainsi un bien-être optimal.

Chaque viande AOP est parfaitement traçable, permettant aux consommateurs de connaître l’origine exacte de l’animal et son parcours depuis sa naissance jusqu’à son assiette. Cette transparence totale garantit la qualité et l’authenticité des produits.

GRG Maison des Viandes : Un partenaire engagé auprès des éleveurs

Chez GRG Maison des Viandes, nous travaillons en étroite collaboration avec les éleveurs de viandes AOP. Nous les soutenons dans leur démarche et leur offrons des prix équitables pour leur permettre de vivre de leur passion et de préserver ce savoir-faire unique.

Nous sommes convaincus que la consommation de viande doit être raisonnée et se concentrer sur des produits d’excellence. Les viandes AOP, avec leurs qualités gustatives exceptionnelles et leur engagement pour le respect de l’environnement et du bien-être animal, représentent l’alternative idéale pour les consommateurs soucieux de leur alimentation.

Enfin, nous invitons tous les amateurs de viande à découvrir les saveurs uniques des viandes AOP. Chez GRG Maison des Viandes, nous vous proposons une sélection rigoureuse de ces produits d’exception, accompagnés de conseils avisés pour les sublimer en cuisine.

GRG Maison des Viandes au Salon de l’Agriculture 2024 : un engagement renforcé envers nos éleveurs et agriculteurs

Nous sommes fiers d’avoir participé à la 60ème édition du Salon de l’Agriculture, qui s’est tenu du 24 février au 03 mars 2024, au Parc des expositions de la Porte de Versailles. Cet événement emblématique de la filière agricole nous a permis de renforcer notre engagement envers les éleveurs et agriculteurs, tout en découvrant les plus belles races à viande et en célébrant le savoir-faire français en matière d’élevage et d’exploitation agricole.

Prim’Holstein, Normande, Montbéliarde, Charolaise, Limousine, Blonde d’Aquitaine, Aubrac, Lacaune, Mouton Charollais, Large White, Duroc, Piétrain, Landrace, Limousin, Noir de Bigorre…, au cours de notre visite, nous avons eu l’opportunité d’admirer de nombreuses races bovines, ovines et porcines.
Notre présence au Salon de l’Agriculture est la manifestation de notre soutien continu aux éleveurs et agriculteurs français. Nous sommes reconnaissants pour leur dévouement à fournir des produits de qualité et nous nous engageons à maintenir des partenariats solides pour garantir la meilleure sélection de viandes pour nos clients.

Chez GRG Maison des Viandes, nous sommes fiers de soutenir et de promouvoir l’agriculture française, tout en offrant à nos clients une gamme de produits de qualité supérieure. A l’année prochaine !

De la ferme à l’assiette : comprendre le processus d’élevage des animaux dans l’industrie de la viande

L’élevage des animaux destinés à la consommation est un processus complexe et soigneusement orchestré, impliquant diverses étapes pour garantir la qualité, la sécurité et le bien-être des animaux, ainsi que la satisfaction des consommateurs.

Le processus commence dans des exploitations agricoles où les animaux sont élevés dans des conditions qui garantissent leur bien-être. Des normes strictes sont souvent mises en place pour assurer des installations appropriées, une alimentation équilibrée, un accès à l’eau potable et des soins vétérinaires.
Les éleveurs sélectionnent attentivement les animaux en fonction de critères spécifiques tels que la race, la génétique et la santé. Ils prodiguent des soins adaptés, veillant à leur confort et à leur croissance tout au long de leur vie.

Une alimentation équilibrée est primordiale pour la santé des animaux. Les éleveurs veillent à fournir une alimentation adéquate, souvent composée de céréales, de fourrage et d’autres éléments nutritifs, adaptée aux besoins spécifiques de chaque espèce.

Le suivi vétérinaire régulier est essentiel pour détecter et traiter les éventuelles maladies ou blessures. De plus, de nombreux éleveurs adoptent des pratiques durables pour réduire l’impact environnemental de l’élevage, telles que la gestion des déchets ou l’utilisation rationnelle des ressources. La traçabilité est assurée à chaque étape. Les éleveurs enregistrent des données détaillées sur la vie et les soins des animaux. Cela garantit une traçabilité complète, assurant la sécurité alimentaire et offrant aux consommateurs la transparence sur l’origine des produits.
Une fois les animaux prêts, ils sont transportés vers des installations de transformation, où ils sont abattus et préparés pour la vente. Des normes strictes sont appliquées pour garantir la qualité et la sécurité des produits tout au long du processus de transformation et de distribution.

Chez GRG Maison des viandes, nous nous engageons à collaborer avec des éleveurs partenaires qui partagent nos valeurs de qualité, de traçabilité et de respect des normes éthiques, offrant ainsi à nos clients des produits de viande de première qualité.

En conclusion, le processus d’élevage des animaux destinés à la consommation repose sur des normes rigoureuses, un engagement envers le bien-être animal et des pratiques durables, garantissant ainsi la qualité des produits qui arrivent dans nos assiettes.

Elevage et biodiversité, le bonheur est-il dans le pré ?

Tout comme la plupart des activités humaines, l’élevage n’échappe pas à la production de déchets, les gaz à effet de serre !
Cela étant, saviez-vous qu’en pâturant, les animaux ont un effet positif sur l’environnement et plus précisément sur la biodiversité ?
En effet, en pâturant, les vaches entretiennent nos prairies, ces espaces qui font partie intégrante du paysage français puisqu’elles représentent environ la moitié de la surface agricole française. Ainsi, la flore s’épanouit au mieux puisqu’un grand nombre de plantes différentes se développent, et les bouses des vaches, en se décomposant, nourrissent les êtres microscopiques qui vivent dans le sol.
Ainsi, les animaux d’élevage, en vivant dans les prés, participent au maintien de la biodiversité.

Cette biodiversité qui se trouve dans les prairies nourrit également le bétail et offre l’assurance de produire un lait et une viande de qualité.
En effet, elle fournit en partie les végétaux nécessaires à l’alimentation des troupeaux d’herbivores (bovins, caprins, ovins, équins) de par la diversité de ses plantes et infrastructures agroécologiques (haies, mares).
Enfin, les prairies c’est également le lieu propice à la nidification pour une infinité d’espèces qui s’enrichissent mutuellement et forme une communauté aux multiples avantages écologiques.
Vous aurez donc compris que l’harmonie demeure dans nos prairies entre animaux d’élevage et écosystèmes présents !

Le rôle de l’éleveur est fondamental pour le bien-être des animaux

L’éleveur est l’un des principaux acteurs du bien-être de ses animaux. Il veille chaque jour sur eux en leur donnant une nourriture adaptée et en prodiguant les soins nécessaires à leur bonne santé.

Le rôle de l’éleveur est fondamental pour leur bien-être. Chaque jour il s’assure de leur nourriture, de leur abreuvement, de leur logement et de leur santé. Il sait les observer et vérifier leurs zones sensibles, les petites et grosses blessures. Il connaît et maîtrise la plupart des soins à leur apporter. Il connaît leurs habitude et sait identifier les comportements anomaux, leurs moments de stress. Bref, le troupeau fait partie de sa vie.

Chez GRG nous nous attachons à valoriser le travail des éleveurs et leur large connaissance des besoins des animaux. Nous sommes fiers de compter parmi nos éleveur de grands professionnels.

Autonomie des élevages, il est temps d’en parler !

90 % : c’est la part moyenne des aliments des herbivores produits sur l’élevage même.

Cette grande autonomie présente des vertus importantes sur les plans agronomiques et écologiques. En effet, quand les élevages ne sont pas exclusivement constitués d’herbages, elle permet des changements de culture et un recyclage des déjections sur les exploitations, même en engrais naturels. Ainsi, les fourrages produits sur place, apportent aux troupeaux une grande partie de l’énergie et des protéines dont ils ont besoin. Aussi, dans certains élevages en plaine, les intercultures, autrement dit la période de jachère entre la récolte et le semis suivant, contribuent également à l’autonomie du troupeau et à la couverture des sols.

Néanmoins, en dépit de toutes ces qualités, les élevages autonomes présentent quelques inconvénients. En effet, l’inconvénient majeur demeure dans le fait qu’une part de la ration (notamment la partie
« concentrée » constituée de céréales, de protéines végétales et de coproduits associés) est achetée à l’extérieur. Parmi ces protéines, on retrouve le soja, généralement importé d’Amérique du Sud, et qui peut-être issu de zones déforestées.

Pour limiter l’importation, des actions sont aujourd’hui mises en place par la filière.
On retrouve d’abord l’accroissement de l’autonomie en protéines des exploitations, grâce au diagnostic CAP’2ER® ( ou Calcul Automatisé des Performances Environnementales en Elevage de Ruminants). Un outil pour l’élevage des ruminants qui permet, dans un premier temps, de sensibiliser les agriculteurs à l’impact climatique, et de façon plus générale, à l’impact environnemental de leur exploitation.
L’augmentation de l’autonomie de la France et de l’Union européenne, permise par le Plan Protéines Végétales pour la France 2014-2020, a également été mis en place. Ce dernier doit engager les filières à s’inscrire durablement dans le développement de leur culture, au travers notamment d’une gestion intégrée des produits entrants et d’une consolidation des débouchés.
Enfin, promouvoir la production durable de soja, c’est l’objectif de la plateforme DURALIM, qui s’engage à 100 % de soja durable en 2025 (et zéro déforestation).

L’élevage autonome, on l’encourage et il a encore un bel avenir devant lui !

Abattage : de l’animal à la viande

L’abattage des animaux de boucherie pour la production de viande est réalisé dans les abattoirs qui sont des établissements spécialisés et agréés par les services vétérinaires de l’Etat. Ils sont au nombre de 263 en France et sont soit spécialisés pour une espèce, soit mixtes.

Du déchargement des animaux à l’expédition de la viande, en passant par les étapes d’abattage des animaux et de découpe des carcasses, tout est mis en œuvre pour garantir le respect de la réglementation relative à la protection animale, l’hygiène et la sécurité sanitaire ainsi que la traçabilité des viandes.

Des évolution récentes, notamment la loi Egalim 2018 sur le bien être animal a permis de garantir le respect des animaux grace à plusieurs nouvelles obligations. En effet, le 1er janvier 2022 est entrée en vigueur l’interdiction de production, de stockage et de circulation de certains produits phytopharmaceutiques contenant des substances actives non approuvées au niveau européen pour des raisons liées à la santé humaine ou animale et environnementale.

Vous l’aurez compris les abattoirs sont des établissements spécialisés, agréés et contrôlés par les services vétérinaires de l’Etat, dans lesquels la protection animale est une PRIORITÉ !