Le veau de lait, une viande d’exception dont on ne se lasse pas !

Une viande tendre et raffinée

Le veau de lait est un produit d’exception qui séduit par sa tendreté et sa saveur délicate. Elevé sous la mère ou nourri exclusivement au lait, il offre une chair rosée et moelleuse, très appréciée des fins gourmets et des chefs étoilés. En 2025, cette viande raffinée continue de séduire, notamment grâce à une production locale et respectueuse du bien-être animal.

Le veau de lait provient d’élevages rigoureusement encadrés, où la qualité de l’alimentation joue un rôle clé. Les éleveurs français privilégient un mode d’élevage traditionnel garantissant une traçabilité optimale. Cette approche permet de proposer une viande de haute qualité, répondant aux attentes des consommateurs en quête d’authenticité et de savoir-faire artisanal.

Les atouts nutritionnels du veau

Riche en protéines et en vitamines B, le veau de lait est une viande idéale pour une alimentation équilibrée. Il est également source de minéraux essentiels tels que le zinc et le fer, favorisant une bonne santé musculaire et immunitaire. De plus, sa faible teneur en lipides en fait une option prisée par ceux qui souhaitent allier plaisir et équilibre nutritionnel.

Comment cuisiner le veau de lait ?

Le veau de lait se prête à de nombreuses préparations culinaires. Rôti au four, il conserve tout son moelleux et développe des arômes subtils. En blanquette, il séduit par sa texture fondante et son goût délicat, sublimé par une sauce crémeuse. Pour une touche plus moderne, les côtes de veau snackées accompagnées d’un beurre aux herbes offrent une explosion de saveurs. Enfin, en osso buco, le veau révèle toute sa richesse gustative dans une préparation mijotée aux accents italiens.

Le veau de lait se prête à de nombreuses préparations culinaires. Rôti au four, il conserve tout son moelleux et développe des arômes subtils. En blanquette, il séduit par sa texture fondante et son goût délicat, sublimé par une sauce crémeuse. Pour une touche plus moderne, les côtes de veau snackées accompagnées d’un beurre aux herbes offrent une explosion de saveurs. Enfin, en osso buco, le veau révèle toute sa richesse gustative dans une préparation mijotée aux accents italiens.

En ce moment, le veau de lait continue de s’imposer comme une référence incontournable de la gastronomie française. Sa production raisonnée et son goût inimitable en font un produit prisé tant par les bouchers que par les restaurateurs. Redécouvrir cette viande d’exception, c’est perpétuer un savoir-faire artisanal et valoriser une filière engagée dans la qualité et la tradition.

L’artisanat de la boucherie : entre tradition et renouveau


L’artisanat de la boucherie reste un pilier incontournable du patrimoine culinaire français. Ce métier, qui mêle savoir-faire ancestral et innovation, fait face à de nombreux défis pour ces prochaines années : évolution des habitudes de consommation, pénurie de main-d’œuvre qualifiée, et nécessité de s’adapter aux attentes environnementales et numériques. Chez GRG Maison des Viandes, nous observons ces transformations avec attention et nous accompagnons les artisans bouchers dans cette dynamique de modernisation.


1. Le rôle central des artisans bouchers dans la filière viande

Les bouchers artisanaux ne sont pas de simples commerçants. Ils jouent un rôle clé dans :

  • La valorisation des produits du terroir : En travaillant directement avec des éleveurs locaux ou des grossistes, les bouchers garantissent des viandes de qualité et défendent les savoir-faire régionaux.
  • L’éducation des consommateurs : Ils conseillent leurs clients sur les morceaux à privilégier, les modes de cuisson et les recettes adaptées, tout en promouvant une consommation responsable.
  • Le lien humain : Dans un monde où la digitalisation prend de plus en plus de place, l’artisan boucher conserve une relation de proximité et de confiance avec ses clients.

2. Les constats actuels : entre défis et opportunités

Un métier qui peine à recruter

La filière artisanale fait face à une pénurie de main-d’œuvre qualifiée. Les jeunes générations sont souvent peu attirées par ce métier exigeant, malgré ses perspectives d’emploi et ses opportunités entrepreneuriales. Les écoles de boucherie, pourtant réputées, peinent à combler la demande.

Une consommation de viande en mutation

La consommation de viande en France diminue depuis plusieurs années, avec une préférence accrue pour des produits de qualité, locaux et respectueux de l’environnement. Cette tendance pousse les artisans à diversifier leur offre et à miser sur des viandes bio, labellisées ou issues de circuits courts.

La montée en puissance du numérique

Les artisans bouchers investissent de plus en plus dans le digital :

  • Sites internet pour commander en ligne.
  • Réseaux sociaux pour valoriser leurs produits et partager des recettes.
  • Solutions digitales pour la gestion des stocks et le suivi de la traçabilité.

L’importance de la durabilité

Les consommateurs exigent des pratiques respectueuses de l’environnement, que ce soit au niveau de l’approvisionnement (viandes locales et élevées en plein air) ou des emballages (réduction du plastique au profit de matériaux recyclables).


3. Les évolutions attendues en 2025

Une montée en gamme des boucheries artisanales

La tendance est au positionnement premium, avec des produits rares, des viandes maturées et des découpes spécifiques. Les artisans misent sur leur expertise pour se démarquer face aux grandes surfaces.

Le retour des bouchers itinérants

Avec la recherche de proximité, les camions-boucheries connaissent un regain d’intérêt, permettant aux artisans d’aller directement à la rencontre des consommateurs dans des zones rurales ou des marchés urbains.

Le renforcement des formations

Pour attirer de nouveaux talents, les formations en boucherie s’adaptent :

  • Introduction de modules sur l’innovation et la digitalisation.
  • Valorisation du métier à travers des événements et concours comme le Meilleur Ouvrier de France.
  • Sensibilisation des jeunes à l’importance du savoir-faire artisanal.

Un artisanat engagé dans la transition écologique

Les bouchers s’impliquent davantage dans des démarches écoresponsables :

  • Réduction du gaspillage alimentaire en valorisant des morceaux moins prisés.
  • Approvisionnement auprès d’éleveurs locaux pratiquant l’agriculture durable.
  • Utilisation de techniques modernes pour limiter leur impact environnemental (optimisation énergétique dans les ateliers, recyclage des déchets, etc.).

4. L’accompagnement de GRG Maison des Viandes

Chez GRG Maison des Viandes, nous soutenons les artisans bouchers dans leur évolution :


L’artisanat de la boucherie est en pleine mutation, mais il demeure un symbole fort de la gastronomie française. Face aux défis économiques, sociaux et environnementaux, les artisans bouchers prouvent leur capacité à se réinventer en combinant tradition et modernité. En 2024-2025, ils continueront à jouer un rôle essentiel dans la filière viande, en incarnant l’excellence, la proximité et l’innovation.

GRG Maison des Viandes vous souhaite une excellente année 2025 !

Chers partenaires, clients et amis,

Toute l’équipe de GRG Maison des Viandes vous présente ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année ! Que 2025 soit synonyme de succès, de projets ambitieux, et de moments gourmands partagés autour de produits d’exception.

Ensemble, nous continuerons à valoriser les savoir-faire de la filière élevage et viande, à vous accompagner avec passion et à répondre à vos besoins avec la qualité et la proximité qui nous tiennent à cœur.

Merci pour votre confiance et votre fidélité. Nous sommes impatients de vivre avec vous de nouvelles aventures cette année !

Bonne année 2025, pleine de saveurs et de réussites !
L’équipe GRG Maison des Viandes

La révolution de l’élevage : quand l’homme transforme son rapport à la nature

Pendant des millions d’années, l’humanité a survécu en s’appuyant sur la chasse et la cueillette, exploitant ce que la nature avait à offrir. Les hommes erraient en quête de nourriture, dépendant de la générosité des paysages sauvages. Mais un tournant décisif a marqué l’histoire de notre espèce il y a environ 11 000 ans : la révolution néolithique, véritable fondement de notre civilisation moderne.


Le début d’une nouvelle ère : la sédentarisation

Au sortir de la dernière glaciation, les conditions climatiques deviennent plus clémentes dans certaines régions du globe, notamment au Proche et au Moyen-Orient. Dans cette zone bénie par la nature, connue aujourd’hui sous le nom de Croissant fertile, les hommes commencent à construire des villages stables, utilisant le mortier, la boue séchée et les pierres pour édifier des habitations durables.

Cette sédentarisation marque un tournant : l’homme n’est plus seulement chasseur-cueilleur, il devient producteur de ses ressources. La révolution néolithique débute, et avec elle, les premières expérimentations d’agriculture et d’élevage.


Les premiers pas de l’élevage

C’est dans les contreforts des Monts Taurus, en Anatolie (sud de la Turquie actuelle), que les premières traces de domestication animale apparaissent. Les hommes commencent à apprivoiser et élever les espèces qu’ils chassaient autrefois.
Les animaux les plus adaptés à cette cohabitation sont sélectionnés :

  • Les moutons et les chèvres : dociles et capables de fournir lait, viande et laine.
  • Les bœufs : puissants et utiles pour la traction.
  • Les porcs : faciles à nourrir et à élever.

En quelques millénaires, cette domestication animale transforme profondément les modes de vie humains. Elle apporte une sécurité alimentaire accrue et permet de diversifier les produits consommés : lait, fromage, viande séchée, cuir, laine, etc.


Le rôle clé du Croissant fertile

Le Croissant fertile, qui s’étend de l’Égypte au sud de la Turquie, puis vers l’est jusqu’en Mésopotamie, offre des conditions idéales pour cette révolution. Ses sols riches, ses rivières comme le Tigre et l’Euphrate, et son climat tempéré permettent le développement conjoint de l’agriculture et de l’élevage.

Dans ces régions, les communautés humaines apprennent à :

  • Contrôler la reproduction des animaux.
  • Gérer les troupeaux pour assurer leur pérennité.
  • Améliorer les espèces en sélectionnant les individus les plus robustes ou les plus productifs.

Un héritage qui traverse les millénaires

La révolution de l’élevage a jeté les bases d’une économie agricole durable, assurant à l’homme une certaine indépendance vis-à-vis des aléas de la nature. Ces avancées ont permis :

  • La croissance démographique grâce à une alimentation plus stable.
  • La création de surplus alimentaires, favorisant l’échange et le commerce.
  • L’émergence des premières grandes civilisations.

Aujourd’hui encore, l’héritage de cette révolution néolithique se ressent dans nos modes de production. L’élevage, bien qu’ayant évolué, demeure une activité essentielle, entre traditions héritées et modernisation pour répondre aux défis écologiques et sociétaux de notre époque.


La révolution de l’élevage fut bien plus qu’une simple étape dans l’histoire humaine : elle a transformé notre rapport à la nature et permis l’émergence des premières sociétés organisées. Des villages d’Anatolie aux grandes civilisations de Mésopotamie, cette transition a marqué un tournant irréversible, dont les traces résonnent encore dans nos pratiques modernes. Aujourd’hui, alors que nous cherchons à rendre nos modes de vie plus durables, cette histoire rappelle à quel point l’élevage est un pilier de notre évolution.

Viande et changement climatique : vers une consommation plus responsable

La question de l’impact environnemental de la production de viande est au cœur des préoccupations actuelles. Si la filière viande est souvent pointée du doigt pour ses émissions de gaz à effet de serre, il est essentiel de prendre du recul et d’explorer les solutions qui permettent de réduire son empreinte écologique. Chez GRG Maison des Viandes, nous croyons en une filière durable et responsable, où chaque acteur, du producteur au consommateur, peut jouer un rôle.


1. Comprendre l’impact environnemental de la filière viande

La production de viande, notamment bovine, est associée à des émissions significatives de méthane (CH₄), principalement issues de la digestion des ruminants, ainsi qu’à des émissions indirectes dues à la déforestation ou à la production d’aliments pour le bétail. Cependant, il est important de rappeler que tous les modes de production ne se valent pas :

  • L’élevage extensif et en plein air présente des avantages environnementaux en contribuant à la préservation des prairies, qui agissent comme des puits de carbone.
  • À l’inverse, les systèmes intensifs, lorsqu’ils ne respectent pas les normes, sont plus impactants.

2. Des solutions pour réduire l’impact climatique de la production de viande

  • Favoriser les circuits courts et locaux
    Consommer de la viande issue de filières locales permet de réduire les émissions liées au transport et de soutenir une agriculture raisonnée. Chez GRG, nous privilégions les partenariats avec des éleveurs régionaux respectant des pratiques durables.
  • Améliorer l’alimentation des animaux
    Des recherches montrent que l’ajout d’algues ou de légumineuses dans l’alimentation des ruminants peut réduire leurs émissions de méthane de manière significative.
  • Valoriser les co-produits de l’élevage
    Les déchets organiques générés par les élevages peuvent être transformés en biogaz ou compost, contribuant ainsi à une économie circulaire.
  • Encourager une agriculture régénérative
    Ce type d’agriculture, qui mise sur la rotation des cultures, la couverture permanente des sols et la biodiversité, permet de capturer davantage de carbone dans les sols.

3. Consommer la viande autrement : vers une alimentation responsable

En tant que consommateurs, nos choix alimentaires ont un réel impact. Voici quelques pistes pour réduire notre empreinte carbone tout en continuant à apprécier la viande :

  • Réduire les portions, privilégier la qualité : Mieux vaut consommer moins de viande mais choisir des produits d’exception issus d’élevages responsables.
  • Redécouvrir les morceaux « oubliés » : Cela permet d’optimiser l’utilisation de chaque animal et de limiter le gaspillage.
  • Alterner avec des protéines végétales : Introduire des légumineuses ou des céréales complètes dans les repas peut réduire la demande globale en viande tout en apportant des bénéfices nutritionnels.

4. Les engagements de GRG Maison des Viandes

Chez GRG Maison des Viandes, nous sommes convaincus qu’il est possible de conjuguer plaisir gustatif et respect de l’environnement. Nous collaborons avec des éleveurs qui s’engagent dans des démarches durables, en privilégiant le bien-être animal et la réduction de leur empreinte carbone. Nous encourageons également nos clients à adopter une consommation plus éclairée, axée sur la qualité et la responsabilité.



La filière viande et le changement climatique ne sont pas incompatibles. En adoptant des pratiques agricoles durables et en repensant notre façon de consommer, nous pouvons réduire les impacts environnementaux tout en continuant à valoriser le savoir-faire de nos éleveurs et artisans. Ensemble, agissons pour une viande responsable, respectueuse de la planète et de ses habitants.

Les métiers de transformation : le rôle clé des grossistes en viande et les tendances

Au cœur de la filière viande, les grossistes jouent un rôle fondamental en transformant et en distribuant les produits qui arrivent jusqu’aux boucheries, restaurateurs et autres acteurs de la chaîne. Depuis quelques années, ces métiers de transformation évoluent pour répondre à de nouvelles exigences : transparence, durabilité, innovation et satisfaction des attentes des consommateurs. Chez GRG Maison des Viandes, nous incarnons ces valeurs en adaptant nos pratiques aux tendances du marché.


1. Le métier de grossiste en viande : un acteur stratégique de la filière

  • Le lien entre l’éleveur et le consommateur final
    Les grossistes en viande occupent une place centrale dans la filière, en s’approvisionnant auprès d’éleveurs pour fournir des produits de qualité aux professionnels. Leur expertise réside dans la sélection des carcasses, la découpe, la transformation et la logistique.
  • Une maîtrise totale de la chaîne de froid
    Garantir la fraîcheur et la qualité des produits est un impératif absolu. Les grossistes sont équipés pour respecter les normes les plus strictes en matière de transport et de stockage frigorifique.
  • Une offre adaptée aux besoins spécifiques
    Du bœuf maturé à l’agneau fermier en passant par les découpes sur-mesure, les grossistes répondent aux demandes variées des clients, tout en valorisant les morceaux oubliés et en réduisant le gaspillage.

2. Les tendances qui redéfinissent le métier en 2024

  • La traçabilité et la transparence au premier plan
    Les consommateurs souhaitent savoir d’où vient leur viande, dans quelles conditions les animaux ont été élevés et comment les produits sont transformés. Les grossistes s’équipent d’outils numériques pour offrir une traçabilité complète, du champ à l’assiette.
  • Le développement des circuits courts
    En favorisant les collaborations avec des éleveurs locaux, les grossistes réduisent leur empreinte carbone tout en valorisant les terroirs. Chez GRG Maison des Viandes, nous privilégions des partenariats régionaux pour proposer des viandes authentiques et durables.
  • L’innovation dans les découpes et la transformation
    Les tendances alimentaires influencent les modes de transformation. En 2024, la demande pour des découpes innovantes, des produits marinés prêts à cuire et des viandes maturées sur-mesure est en forte croissance.
  • L’engagement environnemental
    Les grossistes adoptent des pratiques plus respectueuses de l’environnement, comme l’utilisation de matériaux d’emballage recyclables ou la réduction des déchets dans les ateliers de transformation.
  • Une diversification des produits
    Bien que la viande reste au cœur de leur activité, certains grossistes intègrent désormais des alternatives comme des substituts végétaux pour répondre à une clientèle plus diversifiée.

3. L’évolution des compétences dans le métier de grossiste

Les métiers de transformation ne cessent de se professionnaliser :

  • Formation continue et digitalisation : Les outils numériques sont devenus incontournables, que ce soit pour gérer la traçabilité, optimiser les stocks ou répondre aux demandes des clients.
  • Savoir-faire artisanal et innovation : Malgré la modernisation des outils, la maîtrise des techniques traditionnelles reste essentielle pour garantir une qualité irréprochable.
  • Focus sur la relation client : Les grossistes jouent un rôle de conseil auprès de leurs clients (bouchers, restaurateurs) pour les guider vers les meilleures options en fonction des tendances et des saisons.

4. L’engagement de GRG Maison des Viandes pour 2024

Chez GRG Maison des Viandes, nous mettons un point d’honneur à incarner ces évolutions :

  • Traçabilité renforcée : Chaque produit est suivi tout au long de son parcours, garantissant une transparence totale pour nos clients.
  • Qualité et proximité : Nous travaillons main dans la main avec des éleveurs locaux pour offrir des viandes savoureuses et éthiques.
  • Innovation et satisfaction client : Nos équipes proposent des solutions personnalisées, comme des découpes spécifiques ou des produits prêts à l’emploi, pour répondre aux besoins des professionnels.

Les métiers de transformation, et en particulier celui de grossiste en viande, se trouvent à la croisée des chemins entre tradition et modernité. En 2024, ils se réinventent pour répondre aux attentes d’un marché en pleine mutation : durabilité, innovation et excellence. Chez GRG Maison des Viandes, nous sommes fiers d’être un acteur clé de cette transition, au service d’une filière plus responsable et plus proche des attentes des consommateurs.

Mettre en valeur le savoir-faire des éleveurs : un dialogue essentiel pour l’avenir de l’élevage

Dans un contexte où les consommateurs sont de plus en plus soucieux de l’origine et des méthodes de production de leur alimentation, la relation entre les producteurs et les consommateurs revêt une importance capitale. L’élevage, en particulier, est un secteur qui suscite de nombreuses questions. Comment mettre en avant le savoir-faire des éleveurs, souvent méconnu, et favoriser un dialogue constructif avec les consommateurs ?

Le savoir-faire de l’éleveur : un atout à valoriser

  • Un métier de passion : Souligner que l’élevage est bien plus qu’un simple métier, c’est une passion qui se transmet de génération en génération.
  • Un savoir-faire unique : Mettre en lumière les compétences techniques et les connaissances approfondies des éleveurs en matière de génétique, de nutrition animale, de bien-être animal et de gestion de l’environnement.
  • Un lien étroit avec la nature : Souligner l’importance du lien entre l’éleveur, son troupeau et son environnement.

Les enjeux de la communication entre producteurs et consommateurs

  • Des attentes grandissantes : Les consommateurs souhaitent en savoir plus sur l’origine de leur viande, les conditions d’élevage et les pratiques agricoles.
  • Des idées reçues à déconstruire : Il est important de lutter contre les idées reçues sur l’élevage et de fournir des informations fiables et transparentes.
  • Un défi pour les éleveurs : Communiquer efficacement n’est pas toujours facile pour les éleveurs, qui sont souvent plus à l’aise avec les gestes qu’avec les mots.

Comment favoriser le dialogue ?

  • Visites de fermes : Organiser des visites de fermes pour permettre aux consommateurs de rencontrer les éleveurs, de découvrir leur quotidien et de poser leurs questions.
  • Journées portes ouvertes : Mettre en place des journées portes ouvertes pour présenter les différentes étapes de la production et les enjeux de l’élevage.
  • Réseaux sociaux : Utiliser les réseaux sociaux pour partager des informations sur le métier d’éleveur, les pratiques agricoles et les produits.
  • Partenariats avec les distributeurs : Collaborer avec les distributeurs pour mettre en place des opérations de communication conjointes.
  • Événements locaux : Participer à des événements locaux (marchés, foires, etc.) pour aller à la rencontre des consommateurs.

Les bénéfices du dialogue

  • Renforcement de la confiance : Un dialogue transparent et régulier permet de renforcer la confiance entre les producteurs et les consommateurs.
  • Amélioration de l’image de l’élevage : En montrant le visage humain de l’élevage, on contribue à améliorer son image et à lutter contre les stéréotypes.
  • Adaptation de l’offre : Le dialogue avec les consommateurs permet aux éleveurs d’adapter leur offre en fonction des attentes et des besoins.

Le dialogue entre les producteurs et les consommateurs est essentiel pour l’avenir de l’élevage. En mettant en valeur le savoir-faire des éleveurs et en favorisant la transparence, nous contribuons à une meilleure compréhension des enjeux liés à la production alimentaire et à une consommation plus responsable.

La viande sur les marchés : une tradition qui se renouvelle avec l’expertise de nos vendeurs

Les marchés, lieux de rencontre et de tradition, sont au cœur de l’engagement de GRG Maison des Viandes. Nos vendeurs y apportent expertise et passion en sélectionnant les meilleures bêtes, en échangeant avec les acteurs de la filière, et en participant activement aux jurys des plus grands marchés de France.

Chez GRG Maison des Viandes, la tradition des marchés occupe une place essentielle. Nos vendeurs y jouent un rôle actif en étant présents chaque semaine pour sélectionner les bêtes, en veillant à ce que la qualité réponde aux exigences de nos clients. En parcourant les allées des marchés, ils rencontrent les éleveurs et les artisans bouchers, développant des relations de proximité avec les producteurs de viande et garantissant ainsi une qualité irréprochable, issue d’élevages responsables et d’animaux bien traités.

La présence de nos équipes sur les marchés ne se limite pas à la sélection de la viande : elle est aussi l’occasion de rester au plus près des évolutions et des attentes du métier. Nos vendeurs échangent constamment avec les éleveurs pour comprendre leurs pratiques et valoriser les meilleures méthodes d’élevage. Cet échange permet à GRG d’être un acteur de confiance, à l’écoute des professionnels de la filière, en soutenant et en promouvant les élevages locaux et durables.

Enfin, l’expertise de GRG Maison des Viandes est reconnue à travers la participation de nos vendeurs aux jurys des plus grands concours de marchés en France. Leur présence comme juges dans des événements prestigieux, tels que le Grand Prix du Bœuf de Saint-Christophe-en-Brionnais, est une reconnaissance de leur savoir-faire et de leur capacité à évaluer des produits d’exception. Ces distinctions renforcent notre engagement envers la qualité et le soutien aux producteurs, valorisant les produits de nos régions dans un esprit de tradition et d’authenticité.


Les marchés incarnent l’essence même de l’engagement de GRG Maison des Viandes envers une filière responsable et de qualité. Par leur présence et leur rôle actif, nos vendeurs apportent expertise, proximité et exigence pour que chaque produit soit à la hauteur des attentes de nos clients. La tradition des marchés continue ainsi de se renouveler, portée par notre passion et notre savoir-faire.

GRG Maison des Viandes au Grand Prix du bœuf : notre équipe, membre du jury des meilleures Charolaise

Le Grand Prix du bœuf de Saint-Christophe-en-Brionnais est l’un des événements les plus prestigieux de la filière bovine en France. Chaque année, il réunit les meilleurs éleveurs et amateurs de viande de qualité pour célébrer l’excellence de la race Charolaise. GRG Maison des Viandes est fier d’avoir été représenté lors de cette édition 2024 par Charles Guedjou, notre expert en viande, qui a eu l’honneur de siéger en tant que membre du jury.

Une tradition d’excellence au cœur du Charolais

Saint-Christophe-en-Brionnais, situé en Saône-et-Loire, est un lieu emblématique pour la vente et la promotion du bétail, et en particulier de la race Charolaise. Reconnue mondialement pour sa viande exceptionnelle, cette race est prisée pour sa tendreté, son goût et son persillé unique. Le Grand Prix du bœuf, événement majeur pour les éleveurs, permet de distinguer les bêtes les plus remarquables issues des meilleures exploitations de la région.

« Participer au Grand Prix du bœuf de Saint-Christophe-en-Brionnais est une véritable fierté. En tant que professionnel de la viande, c’est une occasion unique de rencontrer des éleveurs passionnés et de voir leur travail acharné reconnu au plus haut niveau », explique Charles. Le Grand Prix du bœuf, événement majeur pour les éleveurs, permet de distinguer les bêtes les plus remarquables issues des meilleures exploitations de la région.

Membre clé de l’équipe GRG Maison des Viandes, Charles Guedjou apporte une expertise pointue dans la sélection des viandes de qualité. Invité à participer au jury cette année, il a eu pour mission d’évaluer les meilleures Charolaises aux côtés d’autres professionnels du secteur.

Un engagement de GRG Maison des Viandes pour la qualité

La présence de GRG Maison des Viandes à cet événement n’est pas anodine. Nous avons toujours eu à cœur de proposer à nos clients des viandes provenant des meilleurs terroirs et élevages de France. Ce concours est une belle vitrine pour les éleveurs, mais aussi une confirmation que notre sélection de viande repose sur des standards de qualité élevés, fidèles à notre engagement.

« Chez GRG Maison des Viandes, nous travaillons en étroite collaboration avec des éleveurs de confiance. Ce type d’événement nous permet de renforcer nos liens avec eux et d’assurer à nos clients que nous sélectionnons les viandes les plus nobles », ajoute Charles Guedjou.

Le Grand Prix du bœuf de Saint-Christophe-en-Brionnais illustre le dynamisme et la passion des éleveurs français. La race Charolaise continue de briller sur le marché grâce à sa qualité exceptionnelle, et chez GRG Maison des Viandes, nous sommes heureux de pouvoir partager ce patrimoine gastronomique avec vous.

Interview : à la rencontre de Amaury Pitrat, fondateur de la Boucherie du Pont de Neuilly !

Pour ce nouvel entretien, GRG Maison des Viandes vous emmène à la découverte de la Boucherie du Pont de Neuilly, une adresse incontournable à Neuilly-sur-Seine. Rencontre avec Amaury Pitrat, son fondateur passionné, qui nous parle de son parcours, de ses valeurs, et de l’exigence qui guide chaque jour son travail. Une véritable immersion dans le quotidien d’un artisan engagé pour la qualité, client fidèle de la Maison des Viandes.

Pouvez-vous nous décrire la Boucherie Neuilly et ce qui la distingue des autres boucheries du quartier ?
Je dirais que ce qui distingue d’abord notre boucherie, c’est qu’il s’agit d’une boucherie familiale. Parmi nos clients, nous avons principalement des familles du quartier, très friandes le week-end de nos fameux « poulets rôtis/pommes de terre », les petits saucissons pour les enfants, etc. A contrario, durant la semaine, nous avons une clientèle orientée « monde professionnel » qui viennent s’approvisionner en sortant du bureau. Là encore, ce qui nous distingue, c’est que les autres boucheries environnantes ne se sont pas trop orientées sur le sujet. On y retrouve ce que l’on appelle une « formule déjeuner », préparée par nos soins, avec toujours trois plats au choix, évidemment composés de nos viandes avec un accompagnement, suivis d’un dessert maison. Notre prix sur cette formule est plutôt attractif, à 13 euros le menu. Nous nous positionnons aussi clairement sur l’attractivité de nos prix puisque ce menu est à 13 euros et à nos poulets fermiers pour 4 personnes à la rôtissoire.

Quels sont les produits phare de votre boucherie ?
En cette rentrée et quand la météo le permet, nos clients restent de bons consommateurs de carpaccio, de brochettes de poulet ou de bœuf essentiellement, et après en ayant une clientèle familiale, on retrouve beaucoup de jambon blanc, de poulets rôtis, de steaks hachés. Voilà, nos produits tendance en ce moment. Enfin, les week-ends, notre clientèle va se tourner vers les rôtis de bœuf, les brochettes, ce genre de choses.

Comment travaillez-vous avec les éleveurs pour garantir la qualité de vos produits ?
Notre relation avec les éleveurs se fait principalement en travaillant avec la Maison des Viandes. Cependant, pour l’approvisionnement de notre volaille, nous travaillons aux côtés d’éleveurs en direct, proches de Paris, avec la Ferme du Luteau. Il y a une relation de confiance qui s’est installée avec ces éleveurs tout comme avec les vendeurs de la Maison des Viandes, et surtout avec Arnaud de l’équipe bœuf.

La Boucherie Neuilly fait donc partie du réseau GRG Maison des Viandes. Comment cette collaboration influence-t-elle votre activité ?
Les avantages que je tire de ma collaboration avec la Maison des Viandes, c’est comme je l’évoquais un lien de confiance qui me permet une tranquillité d’esprit. Ainsi, je n’ai pas à me soucier de savoir si je vais avoir de la bonne qualité. L’autre valeur ajoutée que j’y trouve aussi, c’est que via GRG Maison Des Viandes, je peux, en fonction du débit de mes deux boucheries (la seconde se trouve à Nanterre), travailler tel ou tel morceau en fonction de la clientèle associée.

Avec la rentrée « post-Jeux Olympiques » de Paris, comment se passe la reprise à la boucherie ?
Notre activité a été assez peu impactée par l’événement sportif cet été puisque nos boucheries n’étaient pas près des sites.
Je peux vous annoncer que notre rentrée s’annonce de feu puisque nous sommes en train de finaliser les travaux de notre boucherie à Neuilly pour le plus grand plaisir de notre clientèle !

Merci à Amaury de nous avoir accordé cet entretien.