Notre engagement en faveur du bien-être animal

Le bien-être animal est au coeur de notre projet d’entreprise. C’est pourquoi, nous nous sommes engagés dans une démarche visant à̀ valoriser la prise en charge des conditions animales au sein de la filière viande.

Nous sommes convaincus qu’il est possible de faire évoluer collectivement notre modèle agro-alimentaire. De ce fait, nous pensons que c’est en favorisant les filières et en travaillant avec les parties prenantes concernées pour améliorer les conditions de bien-être animal, que nous contribuerons, par notre action et à notre niveau, à faire progresser les métiers de l’élevage, du transport et de l’abattage.

Pour GRG Maison des viandes, il est essentiel que les animaux dont la chaire arrive jusque dans notre établissement, soient bien traités à toutes les étapes de leur vie en respectant les 5 libertés fondamentales définies par le Farm Animal Welfare Council.
C’est pourquoi, nous avons acté notre engagement au travers d’une charte bien-être animal à retrouver par ici.

Il est également important que les éleveurs et fournisseurs avec qui nous travaillons soient fiers de leurs métiers et que nous puissions, à notre niveau, en apporter la preuve par des produits de qualité. Ainsi, nous avons également établi un cahier des charges afin qu’ils puissent bénéficier de la mention « Engagement Bien-être Animal », si leurs rendus respectent nos exigences.

Le gouvernement se mobilise en faveur de la modernisation des abattoirs

Il y a quelques semaines, le gouvernement annonçait un plan de relance pour les filières agricoles et agroalimentaires comprenant des appels à projet, des téléprocédures…
L’un des volets de ce plan de relance concerne les aides attribuées pour soutenir la modernisation des abattoirs. Toutes les filières sont concernées. Qu’il s’agisse des viandes de boucherie (bovins, ovins, porcins, gibiers d’élevage …) ou encore des viandes de volailles ou de lapins. L’idée est de soutenir financièrement les porteurs de projets qui souhaitent moderniser leur outil de transformation. Pour se faire, c’est une enveloppe budgétaire de 130 millions d’euros qui est prévue pour perfectionner les outils des abattoirs.

Quelles en sont les modalités ?
La dotation financière totale du dispositif est plafonnée à 130 millions d’euros. Dans ce cadre, des appels à projet sont en cours pour soutenir :
• les investissements de modernisation des outils d’abattage;
• la formation du personnel des abattoirs à la protection animale;
• la santé et la sécurité au travail;
• le respect de la réglementation sanitaire et environnementale;
• la certification du respect de l’abattoir aux exigences sanitaires des pays tiers;
• la création de capacités d’abattage innovantes si elles répondent à un besoin territorial;
• le contrôle par vidéo mis en place par l’abatteur.
Les dossiers de candidatures seront sélectionnés et instruits sous la responsabilité de la Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (DRAAF) dans la limite des montants disponibles.

Vers un renfort de l’attractivité du secteur
Dans le contexte actuel, l’acceptation des abattoirs et leur pérennité nécessitent des conditions exemplaires de protection des animaux. Il est nécessaire d’améliorer les équipements et les pratiques mais aussi les conditions de travail des opérateurs. Dans le même temps, ces investissements permettront de renforcer l’attractivité des produits français auprès des consommateurs en améliorant leur compétitivité, en garantissant le respect des règles d’hygiène et en proposant une meilleure prise en compte des sujets environnementaux. Ils permettront également de répondre aux exigences des pays tiers. Ce qui permettra de faciliter le commerce international et ainsi préserver nos emplois dans les territoires.

L’élevage herbivore au service de l’aménagement de nos territoires

Pour se nourrir, produire du lait et de la viande, les herbivores pâturent en France 11 millions d’hectares de prairies permanentes et 2,5 millions d’hectares de parcours de montagne qui sont autant de paysages changeants et de zones d’intérêts écologique, économique et social.
Ces grands espaces verts n’existeraient pas sans les éleveurs et leurs troupeaux. A la belle saison, vaches, moutons et chevaux pâturent et entretiennent ces étendues d’herbe qui font le bonheur des randonneurs et des skieurs, car en hiver, certaines prairies de montagne deviennent notamment des pistes de ski !

Les élevages contribuent alors au développement durable des territoires sur les trois aspects étroitement imbriqués que sont l’environnement, l’économie et le social :

  • Environnement : les prairies protègent les sols contre l’érosion, limitent les inondations, incendies et avalanches. Elles permettent de réduire l’utilisation d’énergie dans les exploitations, de participer à la lutte contre le réchauffement climatique en stockant du carbone et de maîtriser la qualité des eaux. Ce sont aussi des espaces très riches en biodiversités animale et végétale.
  • Economie : les prairies permettent une production alimentaire (viande, lait) mais aussi de cuir et de laine dans des zones difficilement cultivables. Cette production contribue à répondre à la demande des consommateurs français en produits carnés et laitiers de qualité et crée de l’emploi dans les zones rurales.
  • Social : Les prairies et les activités d’élevage associées contribuent au maintien de la vie sociale dans le milieu rural et de l’emploi dans des territoires faiblement peuplés, en participant de façon importante à la qualité et la diversité des paysages et donc à l’attrait touristique des campagnes françaises.

L’élevage n’a donc pas fini de nous étonner par ses bienfaits sur de nombreux aspects.

À la rencontre de Franck Dupront, un nutritionniste qui replace le bien-être animal au cœur de l’alimentation chez les bovins

Il y a quelques jours, nous vous dévoilions un documentaire vidéo au cœur de notre activité sur le marché de Rungis. Nous allions également dans ce reportage à la rencontre de ceux qui font de GRG Maison des viandes, LE grossiste aux produits d’exception, en nous rendant chez notre producteur de viande charolaise, Charles Guedgou, puis chez l’un de nos plus fidèles clients, Jean-Christophe Prosper. C’est ainsi que nous avons décidé de nous intéresser à l’un des autres acteurs essentiels à l’élevage de bovins et à la production de viandes à la qualité inégalable, Franck Dupront. Un nutritionniste qui œuvre chaque jour pour faire rimer élevage et bien-être animal au travers de l’alimentation.

Bonjour Franck, vous vous êtes exercé durant vingt ans dans des coopératives d’aliment du bétail avant de vous mettre à votre compte en tant que nutritionniste spécialisé auprès des bovins. Pourriez-vous d’abord nous décrire quel est votre quotidien aujourd’hui et depuis quand travaillez-vous auprès de Charles Guedjou ?

« Je travaille avec Charles depuis maintenant six ans. Au quotidien, je m’occupe d’une seule espèce animale, les bovins.
Au-delà du simple fait de calculer les rations de chaque animal dans un élevage, je passe aussi beaucoup de temps à regarder le comportement des animaux. C’est ce qui me permet de détecter toutes les anomalies du non-respect des bases de l’alimentation, contribuant au bien-être de l’animal. En effet, on peut calculer la meilleure ration du monde en ayant l’aliment le plus performant, si les bases ne sont pas présentes, le travail est inefficace. »

Et justement, pouvez-vous nous dire quelles sont ces bases ?

« Elles sont multiples : pierre de sel ; fourrage frais et aérée à disposition et à volonté, surtout accessible et de bonne qualité ; un aliment conforme aux objectifs de production ; un couchage parfait car un animal qui se couche et qui rumine est un animal qui se sent bien. L’eau est également un élément primordial mais souvent trop sous-estimé par les éleveurs. Il faut savoir qu’une vache peut boire entre 12 et 15 litres d’eau à la minute. A ce sujet, parmi les signes évocateurs d’un problème dans le bien-être de l’animal, il y a celui qui consiste à observer si celui-ci lève la tête plus de 5 fois. Si c’est le cas, il faudra réagir rapidement car ils n’ont normalement pas le temps de boire.
Il est également important pour l’éleveur et le nutritionniste de faire appel à leurs sens en regardant, écoutant et observant tout comportement anormal qui puisse être corrigé. Par exemple, si un animal mange de la terre ou du fumier, c’est le signe d’une carence en oligo-éléments ou en sel.
Je ne conseillerai jamais assez de veiller au confort du bâtiment où vivent les animaux. »

Selon vous, quels sont les apports nutritionnels à apporter pour obtenir une chaire d’exception ?

« Je dirais que la qualité nutritive des matières premières apportées est primordiale. Là, on va retrouver des graines de lin extrudées hyper riche en oméga 3 (persillé de la viande) ; de la luzerne pour obtenir une belle couleur de viande et pour que l’animal rumine bien ; des minéraux avec surtout l’apport de sélénium qui va prendre soin du muscle (un apport essentiel pour la race cularde, fragile du cœur et à ce titre rappelons que le coeur est un muscle. Enfin, il y a la vitamine E qui aide à limiter l’oxydation de la viande à l’étalage.

Le plus important c’est de pouvoir approcher la meilleure dégradation des aliments en même temps (entre 2 et 6 heures de digestion), pour une synergie parfaite et une optimisation maximal de la ration. Il faut se rappeler que l’on ne nourrit pas une vache, on nourrit des milliards de micro-organismes.

Quel est la race bovine qui requiert le plus de soins nutritionnels ?

« Ici, il n’est pas seulement question de la race. Plusieurs autres facteurs entre en jeu :
l’âge ; la durée d’engraissement ; le type d’animaux à l’intérieur d’une même race. Au cœur, d’une même race, on va retrouver taurillons, génisses, culardes, vaches, bœufs, qui n’ont pas tous les mêmes besoins.
Je dirais que les races les plus difficiles à conduire vers l’alimentation la plus en équilibre avec leurs besoins sont la parthenaise, la blonde d’aquitaine et hors race la cularde. Celle que possède principalement Charles. »

Un grand merci à Franck pour tous ses secrets nutritionnels utiles aux éleveurs et à tous les acteurs de la filière.

Elevage et biodiversité, le bonheur est-il dans le pré ?

Tout comme la plupart des activités humaines, l’élevage n’échappe pas à la production de déchets, les gaz à effet de serre !
Cela étant, saviez-vous qu’en pâturant, les animaux ont un effet positif sur l’environnement et plus précisément sur la biodiversité ?
En effet, en pâturant, les vaches entretiennent nos prairies, ces espaces qui font partie intégrante du paysage français puisqu’elles représentent environ la moitié de la surface agricole française. Ainsi, la flore s’épanouit au mieux puisqu’un grand nombre de plantes différentes se développent, et les bouses des vaches, en se décomposant, nourrissent les êtres microscopiques qui vivent dans le sol.
Ainsi, les animaux d’élevage, en vivant dans les prés, participent au maintien de la biodiversité.

Cette biodiversité qui se trouve dans les prairies nourrit également le bétail et offre l’assurance de produire un lait et une viande de qualité.
En effet, elle fournit en partie les végétaux nécessaires à l’alimentation des troupeaux d’herbivores (bovins, caprins, ovins, équins) de par la diversité de ses plantes et infrastructures agroécologiques (haies, mares).
Enfin, les prairies c’est également le lieu propice à la nidification pour une infinité d’espèces qui s’enrichissent mutuellement et forme une communauté aux multiples avantages écologiques.
Vous aurez donc compris que l’harmonie demeure dans nos prairies entre animaux d’élevage et écosystèmes présents !

Comment réduire les pertes et lutter contre le gaspillage alimentaire ?

Le rapport de l’ADEME de 2016 « Pertes et gaspillages alimentaires : l’état des lieux et leur gestion par étapes de la chaîne alimentaire » montre que le gaspillage pour les filières viandes bovines et porcines s’élève à 10 % de la production, soit une valeur théorique de 2,3 millions d’euros. La majeure partie se réalise lors de la consommation.
Pour améliorer ce point, les représentants de la boucherie artisanale, ont signé un partenariat avec Phénix, une application qui permet aux professionnels de gérer la gestion de leurs invendus.
De son côté, la restauration collective avec la Fondation pour la Nature et l’Homme (FNH) a lancé la démarche de progrès « Mon Restau Responsable » permettant aux restaurants d’œuvrer en faveur d’une alimentation plus durable. Cela passe par 12 axes de progrès tels que la lutte contre le gaspillage, les économies d’eau et d’énergie, ou encore le bien-être des convives et la qualité nutritionnelle des plats.

5 grands principes garants du bien-être animal

Le bien-être des animaux est défini comme « l’état mental et physique positif lié à la satisfaction de ses besoins physiologiques et comportementaux, ainsi que ses attentes ». Cet état varie en fonction de la perception de la situation par l’animal. En effet, un animal ressent des besoins, mais a également des attentes. Selon les réponses à ces attentes et ces besoins, il est capable d’éprouver des sentiments positifs comme négatifs.

La notion de bien-être comprend donc l’état physique, mais également l’état mental de l’animal. Un animal en situation de bien-être, c’est donc un animal qui se porte bien physiquement et mentalement.

Pour pouvoir répondre à ce principe de bien-être animal, 5 libertés individuelles, aujourd’hui reconnues mondialement, ont été définies par l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) à la fin des années 1970.
Elles expliquent les conditions que l’homme doit offrir à l’animal pour assurer son bien-être et se résument en ces axes :

  • absence de faim, de soif et de malnutrition : il doit avoir accès à l’eau et à une nourriture en quantité appropriée et correspondant aux besoins de son espèce
  • absence de peur et de détresse : les conditions d’élevage ne doivent pas lui induire de souffrances psychiques
  • absence de stress physique et/ou thermique : l’animal doit disposer d’un certain confort physique
  • absence de douleur, de lésions et de maladie : l’animal ne doit pas subir de mauvais traitements pouvant lui faire mal ou le blesser et il doit être soigné en cas de maladie
  • liberté d’expression d’un comportement normal de son espèce : son environnement doit être adapté à son espèce (il doit être en groupe si c’est une espèce sociale par exemple).

À travers ces 5 libertés, on peut s’assurer de la bientraitance animale : l’animal est dans un environnement conforme à ses besoins.
C’est pourquoi il est important d’être capable d’interpréter les signes qui traduisent un état mental positif ou négatif de l’animal. C’est l’étude de ses comportements et de l’état physiologique et sanitaire de l’animal qui donne à l’éleveur la bonne vision de son adaptation à son environnement et de son bien-être.

L’élevage ovin, quels modes de production ?

Avec plus de 30 races répertoriées, la France possède l’une des productions ovines les plus diversifiées en termes de régions et de types de production.
Cela est dû au rythme de reproduction rapide de cette espèce, à l’aptitude de certaines races au « désaisonnement » – il s’agit en élevage ovin de mettre des brebis à la reproduction en dehors de la période d’oestrus (chaleurs) naturel, soit pour un grand nombre de races, de mars à juin – et à un temps court et modulable nécessaire à l’engraissement final des agneaux.
L’élevage ovin français s’articule autour de 2 filières :
• la viande : cette production concerne 90% des exploitations en France.
Les agneaux sont élevés dans l’exploitation dans laquelle ils sont nés. Selon la région, l’élevage se fera en plein air ou en bergerie. Mais entre ces 2 systèmes d’exploitation, d’autres intermédiaires sont possibles.
• le lait : cette production concerne environ 10% des exploitations, essentiellement présentes dans le rayon de Roquefort (Aveyron, Lozère, Tarn), les Pyrénées Atlantiques et la Corse.
Dans ces élevages laitiers, le lait permet la fabrication de fromage. Les agneaux, sont vendus non sevrés, aux alentours de 45 jours à Noël ou à Pâques, ce sont les agneaux de lait ou agneaux légers.

Quel rôle désigné aux filières herbivores ? 

Face aux mutations de filières ouvertes sur le monde, on a pu craindre que les liens entre élevages et territoires se distendent. Or, il n’en est rien et l’élevage herbivore est bel et bien ancré dans les nouvelles ruralités françaises.

Cette « re-territorialisation » passe par des liens économiques forts et des emplois non délocalisables, par la valorisation de la qualité et de l’origine des produits, par la valorisation des patrimoines culturels, des gastronomies, des races et paysages emblématiques, ou par des pratiques respectueuses de l’environnement comme le pastoralisme. Associées à des dynamiques collectives d’acteurs des filières et des territoires, l’élevage contribue à l’attractivité des campagnes et crée un imaginaire positif dont bénéficient d’autres secteurs d’activité tels que l’artisanat ou le tourisme. Il répond aux besoins des citadins en vacances, des nouveaux résidents en recherche de nature et des consommateurs en attente de retrouver du lien social et du sens à leur mode d’alimentation.
Texte
Anciens mais renouvelés, les liens entre élevage et territoires prennent des formes diverses et témoignent des services rendus par cette activité. Paysage et identité rurales ont des constructions sociales matérielles et immatérielles dans lesquelles les éleveurs et les filières associées tiennent une part importante et ce, depuis longtemps. En France, les activités d’élevage et les paysages associés inspirent la peinture, la musique ou des descriptions littéraires. A la fin du XIXème siècle, la France acquiert la réputation d’être le jardin de l’Europe notamment grâce à ses paysages « cultivés ».
Le tourisme rural et la gastronomie associées appuient aujourd’hui encore largement sur l’activité d’élevage et ses produits traditionnels : plats, fromages, viandes de races reconnues, … Des festivités liées à l’élevage (comices, montées aux estives) sont remises au goût du jour et célèbrent le lien entre un terroir, ses hommes et son élevage.
Cette valeur patrimoniale et touristique de l’élevage est largement reconnue. Elle peut néanmoins entrer en conflit avec les nouvelles attentes et pratiques résidentielles du fait de « perturbations » sonores, olfactives ou visuelles qu’elle peut engendrer.

Savez-vous quelles gammes de produits sont exportées ?

La filière bétail et viande française, avec les professionnels qui la composent, exporte une diversité de produits afin de répondre à tous les besoins des importateurs, différents selon les pays.

Deux types de marchés sont identifiés : la communauté européenne d’une part et les pays tiers d’autre part.
Pour l’Europe, il s’agit de marchés historiques, avec des campagnes de communication qui leur sont destinées depuis plusieurs années, sur l’Italie, la Grèce, le Portugal et l’Allemagne.
Les pays tiers représentent en revanche de nouveaux débouchés. Une démarche d’approche de ces marchés à fort potentiel a été initiée par l’Interprofession afin de développer et de faciliter les courants d’affaires avec des pays émergeants ou ceux dont les embargos ESB de longues dates sont enfin supprimés.

Concernant la génétique bovine et le bétail, les animaux exportés peuvent être :

  • des animaux d’élevage / reproducteurs : génisses de tout âge (laitonnes de moins d’un an, génisses prêtes à saillir de 13-14 à 18-20 mois selon les races, ou génisses prêtes à vêler de 20-24 à 25-30 mois selon les races), vaches, taureaux, pour la monte naturelle ou pour les centres d’insémination.
    Ces animaux d’élevage peuvent être exportés avec pédigrée (inscription au herd book, garantie de race pure) ou sans, la race étant alors définie par le phénotype et par le code racial mentionné pour les deux parents de l’animal sur son « passeport ».
  • des animaux d’engraissement : veaux (15 jours à 1 mois), broutards (gamme d’âges et de poids très variable en fonction de la race et de l’époque), génisses et taurillons « repoussés » (gamme d’âges et de poids très variable en fonction de la race et de l’époque)
  • des animaux gras prêts à abattre : taurillons, bœufs, animaux de réforme

Une diversité de produits qui ne cesse de ravir nos amis étrangers.